SI LA PEINTURE EST L’ARÈNE OÙ SE GAGNE UNE CERTAINE LUMIÈRE,
Claude Gesvret
expulse de toile en toile
taureau et chevaux, matières et couleurs.
Il en garde la trace sur les bords.
Il l’épure et la puissance
du blanc triomphe.
Mathias Perez
prend le taureau par les cornes, en prend l’énergie,
l’écrase sur la toile, l’immole.
Trophées d’un violent face à face de l’homme,
dans sa fragilité,
qui gagne de ce combat une présence certaine.